Ce sont des plumes, têtes pensantes et autres as de communication sous toutes ses formes, au service du Salon des Produits et services inspirés de l’Afrique et de l’Outre-mer(PSAO) dont la 2è édition aura lieu les 1 et 2 juillet prochains à Douala, au Cameroun.
Une équipe pluridisciplinaire au service d’une communication efficace
C’est la plateforme de référence en matière d’excellence et d’innovation de Produits et Services inspirés de l’Afrique et l’Outre-mer(PSAO), mais aussi dans la connexion entre les entreprises afro-caribéennes, les acheteurs et investisseurs. Ce positionnement, après la première édition en virtuel du Salon PSAO, les 17 et 18 décembre 2021, est en partie due à l’implication d’une équipe de communication qui ne cesse d’innover pour à la fois sensibiliser sur les compétences et l’ingéniosité des entrepreneurs, artisans et autres talents dont regorgent l’Afrique et les Caraïbes tout en mettant en exergue les potentialités des deux régions pour ce qui concerne des ressources naturelles, matières premières ou encore de production culturelle.
Ce staff de communication et d’information, qui a produit des dizaines de contenus aussi bien pour les supports numériques (réseaux sociaux, journaux en ligne), que des médias classiques(télévision, radio, presse écrite), lors du premier acte de ce salon, s’est renforcé avec des profils divers pour la deuxième édition du PSAO qui se tiendra les 1 et 2 juillet prochains à Douala, au Cameroun, en plein cœur d’Afrique centrale.
L’objectif de cette diversité de profils et de compétences : « Accompagner au mieux Tam’s Event dans la réalisation du Salon des Produits et services inspirés de l’Afrique et de l’Outre-mer, pour en faire une véritable institution en matière de promotion de l’inventivité et l’audace des entrepreneurs africains et afro-descendants au-delà des frontière de l’Afrique et des Caraïbes ». Présentation d’une partie de l’équipe.
Parcours et compétences
- Hilaire Sopié : Journaliste et producteur audiovisuel
Après un Bac série “C”, au Lycée du Manengouba, à Nkongsamba, dans le Moungo, il obtient une licence de mathématiques à l’ Université de Yaoundé. Plusieurs années enseignant vacataire de Maths, il fait le choix d’un revirement vers la communication avant deux années d’étude de réalisateur TV à Educatel International à Paris. Il intègre alors la cellule de communication du PMU Cameroun avec plusieurs missions en France où il décide de s’installer dans les années 2000 en créant sa société de production Futurimages qu’il transforme plus tard en SOPIEPROD EDITIONS. Un stage à l’INA de Paris pour apprendre le montage vidéo et il se lance dans le monde du reportage en JRI, quelques années plus tard après avoir fait le tour du monde camera à l’épaule et micro à la main. Il prend alors une année sabbatique pour finaliser son master en Journalisme WEB à l’ESJ de Paris.
- Cyrille Kemmegne : Journaliste, écrivain et philosophe
Ce passionné de belles lettres, admiratif de la France des Lumières, dont le questionnement a permis le renouvellement de la pensée jusqu’à sa modernité, cite par ailleurs volontiers Victor Hugo quand il s’agit de s’approprier son approche sur l’éducation. Journaliste et auteur engagé, il considère sa plume comme une arme contre les maux qui minent nos sociétés. Rien d’étonnant qu’il ait déjà une dizaine de titres à son actif : depuis des romans comme « Histoires d’albinos » ou « Les déboires d’un misogyne », jusqu’aux essais politiques à l’instar de « Histoire de la Bas », « Valérie Pécresse la dame de « faire » », « Eric Zémour a dit son dernier mot » ou encore « La France giflée », qui témoignent tous de ce que l’ancien Rédacteur en Chef de la Crtv, au Cameroun, suit de près l’actualité politique dans l’hexagone.
Né à New-Bell, un quartier populaire de la ville de Douala, poumon économique du Cameroun, Cyrille Kemmegne trouve en l’écriture, un moyen de donner librement du sens à la vie, et tant pis s’il n’est pas toujours compris par ses détracteurs :« Un bon écrivain n’écrit pas seulement pour la rime. C’est d’ailleurs l’excellente raison pour laquelle il ne devrait pas avoir d’amis qui lui soient fidèles », aime-t-il à dire, à juste titre…Eh oui ! chez les philosophes, les mots trahissent toujours la pensée.
Jean-Célestin Edjangué